Les Galiots
Paroles de "Les Galiots"
Chanson française traditionnelle
Répertoire du groupe Babord Amures.
Babord Amures a capella
Chant :
Guy, Alain, Yves, Julien, et Richard,
Discographie :
- Babord Amures volume 2, "Ballades marines, balades malouines"
- Babord Amures, "La marines, Créon Music
Notes :
Nous avons trouvé cette chanson dans l'unique album du groupe folk des années 70 Tarentule, sorti chez Arfolk en 78. Nous en avons repris l'harmonisation. Le titre peut aussi s'écrire "Les galios".
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Voici deux interprétations de "Les Galiots" :
- Tout d'abord, la version de 1978 du groupe folk Tarentule, qui est suivit sur leur 33T LP d'un instrumental, "Seigneurs, sachez qui s'en va" ;
- et une interprétation encore plus ancienne de Aimé Doniat, qui porte le titre "Chanson des galios prisonniers", qui comporte un couplet supplémentaire.
Titre | Chanté par |
Les galios | Tarentule (1978) |
La chanson des galios prisonniers | Aimé Doniat |
Paroles de "les galiots"
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De Paris nous sommes partis cent vingt galiots prisonniers
Pour nous en aller sur la mer servir le noble roi français
A Marseille sommes arrivés en grand déplaisance
Dont malgré nous nous faut aller servir le roi de France
Quand nous fûmes en Avignon nous y trouvâmes légion
De galiots bien enferrés lesquels venaient de Dauphiné
Lesquels nous ont accompagnés en grand déplaisance
Jusqu'à Marseille le grand port du royaume de France
Oh maudits Turcs et Sarrasins vous nous donnez de cruels tourments
Laisser nous fault la fleur de lys où sont nos femmes et nos enfants
Adieu vous dis tous nos parents car j'allons mener guerre
Dessus la mer contre les Turcs, Dieu nous doint la victoire
Nous prierons Dieu le roi des rois qu'Il nous veuille tous secourir
Afin que nous puissions une fois avec nos amis revenir
Et quelque fois nous réjouir et faire bonne chaire
Et servir Dieu du bon du cœur et Marie sa mère
Aimé Doniat chante un couplet supplémentaire (2ème couplet) :
Adieu Paris noble cité là où j'ai longtemps demeuré
Adieu Rouen en Normandie là où j'ai appris mon métier
Adieu Orléans où furent nés ma femme et mes enfants
Car maintenant nous faut laisser le pays piteusement